Télécoms: velléités sécuritaires à la manière de services secrets fachisantsHOTPOTATO |
Résumé: Voici le récit d’un pan (beaucoup trop) important de ma vie, celui d’être la cible d’une cabale rondement menée par un petit nombre de personnes insérées dans un système sécuritaire censé rester autant discret qu’indolore. Ces personnes m’infligeront une intoxication avec une forte dose d’adrénaline ou cortisole de synthèse et 3 ans d’observations quotidiennes dans les rues, à la façon de policiers en civile. L’ensemble résultera en un lavage de cerveau pur et simple. Ceci après avoir choisi d’être intégré à une cellule de service secret active dans les télécoms, soit de servir mon pays, et non pas me faire lyncher par une troupe de vieux paranoïaques frustrés, désuets, d’une violence rigoureusement indigne d’un état de droit.
J’ai déjà tenté de déposer plainte contre inconnu récemment sur ce cas, sans succès. Comme par hasard, pendant les dix jours de délai pour recourir après le refus du tribunal d’arr. de Lausanne, une attaque informatique de TRES GRANDE INTENSITE survient chez mon employeur, risquant purement et simplement la vie de deux entreprises, une de 25, l’autre de 190 personnes environ, implantées en région Genevoise. Le Tribunal Fédéral m’a aussi débouté, sur une version dénuée d’hypothèses de ce document, avec quelques détails et souvenirs en moins.
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Figure 3: Soit-disant réponse du ministère public vaudois
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Figure 4: Timbre de l'enveloppe
Avril 1997, mon premier job est chez un petit fournisseur d’accès à internet, URBANET à Lausanne. l’ADSL est encore en cours de standardisation, le câble est le premier média d’accès haut débit à internet. Le fabriquant des modems-câble que nous achetons ne connaît que deux autres clients les déployant sur des réseaux câblés ouvert au publique plutôt que des campus ou grandes entreprises: un au Canada, l’autre en Finlande.
1998 ou 1999, mon boss nous dit « faites attention, URBANET est passablement observé, évitez de donner des détails opérationnels à des connaissances, éviter de parler de nous à trop haute voix dans des lieux publics ». L’information entre par une oreille et sort par l’autre, je le prends pour légèrement mégalomaniaque. KRABELKOM, société détenant 80% des réseaux câblés en suisse, avec un actionnariat à l’époque comprenant Swisscom, Siemens et les communautés publiques, démarrera son activité internet à ce moment là, a petite échelle, pour croître très fortement plus tard puis racheter URBANET. TSA telecom SA, maison mère d’URBANET, a Pascal Couchepin comme membre de son conseil d’administration.
Je surprends un jour un collègue fouiller dans la mailbox d’un client et l’enguirlande.
Une autre fois ce même collègue réagit bizarrement alors qu’il a au téléphone quelqu’un qui prétend être un juge, il est particulièrement coriace. A l’époque encore aucun cadre légal n’existe pour la mise sur écoute du mail et la traçabilité des clients, j’avais réagi, lors d’une requête similaire, en disant à cette personne que si je la rencontrai en face à face, je pourrai éventuellement établir un lien de confiance et lui révéler quel client se cachait derrière tel adresse IP. Ce soit-disant « juge » ne donnera jamais suite (....).
NCR, une ex-camarade de classe travaillant à la BKFAU, banque de TSA, maison mère d’URBANET, m’appelle pour me mettre en garde de choses (....) que je n’arrive pas réellement à saisir à l’époque, en tout cas pas en 2 minutes au téléphone. Je me souviens à peine d’elle et la prends pour légèrement mégalo ou paranoïaque sur le moment.
HOTPOTATO, PAT, ANITA et SONOTONE forment une équipe d’amis très agréable à l’époque, une équipe très soudée. Rétrospectivement, il devait déjà y avoir passablement d’activités « réseau humain » autour de nous, y compris lors de nos sorties en dehors du cadre professionnel, dans les restaurants Lausannois que nous fréquentions. C’est aussi rétrospectivement que je me suis souvenu de l’attitude particulière de SONOTONE certains soirs, il devait être fortement assujéti par la peur de l’activité du/des réseau(x) humain(s), alors qu’ANITA en était consciente mais circonspecte sur leur bien fondé, et PAT pas entièrement consciente, moi-même pas du tout à l’époque.
Lors d’une de ces soirées, je parle à mes amis de mon intérêt récent pour la psychologie et de l’indicateur de personnalité MBTI (Myers-Briggs type indicator), qui grosso-modo catégorise toutes personnes dans un repère à 16 « cases » ou type de personnalités différentes. ANITA me parle en ayant beaucoup de peine à ne pas s’esclaffer devant SONOTONE et au second degré d’un indicateur de type de personnalité à deux possibilités: franc-maçon ou militaire. Je tombe quelque peu des nues. Elle m’explique un peu. Je trouve ces théories fumeuses. Elle me parle d’une ex-camarade de classe plutôt « franc-maçonne » pour utiliser cette terminologie, qui aimerait bien me parler. Je n’y comprends toujours rien à cette époque.
SONOTONE avait souvent des problèmes de concentration au travail, pendant environ 6 mois à une année.
TEDDYBEAR, fils du banquier gérant URBANET à la BKFAU, commence à travailler pour nous.
Je cesse mes relations de travail avec URBANET fin 2000 sauf erreur. Suit une période de quelque mois avec des mandats d’indépendant, pour Sunrise et SafeHost.
L’euphorie boursière des telecoms s’effondrent. Je me rends compte de la légèreté sur lequel l’ensemble était construit et me documente sur le système financier. Je deviens critique à son égard, parle entre autre de la taxe tobin et du risque systémique (12). Je fume du cannabis (13) qui me permet de sortir du « workahoolisme » en fin de journée et sort avec une amie de nationalité française (14).
Printemps 2001 sauf erreur, une réunion de classe de l’école d’ingénieur chez PEEWEE. Je m’emporte sévèrement, avec verve, sur le système capitaliste.
L’élément suivant vous fera peut-être douté de ma santé mentale. Et pourtant ce n’est que la stricte vérité. Printemps 2001, plage de Préverenges. Je lit un livre sur un banc. Je me redresse à un moment et aperçois sur un ponton, genre 100-120m face à moi, un type en tenue d’assaut en train de m’observer aux jumelles! J’essaie de me reconcentrer sur le livre 5-10 minutes, n’y arrivant pas je retourne au parking prendre ma voiture. En train de démarrer, le type réapparaît de derrière une fourgonnette: C’est un ancien professeur d’allemand, SCHAUDI, que j’ai eut quelques années auparavant. La tenue d’assaut est bien celle de l’armée suisse.
Je n’arrive plus à être précis dans le temps, je pense que c’est durant l’année 2001, la fin du printemps ou le début de l’été, deux événements:
Un homme me contact par e-mail car il trouve les citations écrites à l’époque sur mon site web très intéressantes. Tel est en tout cas le prétexte pour prendre contact. Il prétend être responsable des ventes pour la suisse romande d’un grand groupe actif dans les « tests et mesures » en électronique. Je le trouve agréable, même si son intérêt me paraît quelque peu surfait, nous nous donnons rendez-vous pour partager un repas de midi à Lausanne. Il est francophone ou bilingue en ayant appris le français à un jeune âge, il n’a aucun accent germanophone. Nous parlons autant de philosophie que d’électronique ou de politique. A un moment, il s’emporte à propos du capitalisme, plus précisément de certains de ces acteurs, probablement les banquiers ou les financiers, avec une verve particulière. Je suis politiquement à gauche, à cette époque même à la gauche de la gauche, mais cet emportement me fait quelque peu peur, je me replie sur moi et perd confiance en lui.
Rétrospectivement, il s’en rendra bien compte dans les dizaines de secondes après son « excès » fait de manière calculée, j’imagine.
RE-NATO se montrera renfrogné, plus tard, lorsque je répondrai à des e-mails de cette personne lors de mon travail chez INC..
Dans la même période sauf erreur, HANS me contact pour parler d’un projet de collaboration professionnel: il s’intéresse à démarcher des clients et faire réaliser le travail par un « pool » d’indépendant dans le même métier que le miens. Il transpire anormalement durant notre entrevue, et je n’arrive pas à comprendre comment il compte réussir à tourner financièrement avec son calcul de marge prise sur l’ensemble du travail, lui d’habitude la tête ont ne peut mieux sur les épaules lorsque il s’agit de tirer son épingle du jeu financièrement.
Nous en rediscuterons une fois (avec HANS) par e-mail et après cela plus aucune nouvelle.
Nota Bene: RE-NATO et HANS sont passablement liés depuis l’école d’ingénieur, époque à laquelle HANS était ou plutôt croyait être franc-maçon.
Fin du printemps 2001 : Dans le cadre d’un entretien d’embauche pour une place de travail au réseau câblé de la ville de Lausanne, je rencontre le directeur des ressources humaines des SEL (GADLU). Je le trouve agréable, la conversation part quelque peu en dehors du cadre professionnel. Politique d’abord, puis on bascule sur d’autres sujets : les services-secrets, les réseaux humains et la franc-maçonnerie. Il se prétendit être gradé à l’armée et. Ces sujets me laissent perplexe, il abuse grandement de ma situation de béotien dans ces domaines en parsemant la conversation d’idées totalement fausses dans lesquelles je me perdrai longtemps, rétrospectivement. J’en ressort quelque peu abasourdi, et oublie très rapidement, 15 min après la fin de la conversation (qui dura plus de 2h), et l’après-midi même en m’endormant à mon domicile, la partie quelque peu surréaliste de cette conversation. Celle-ci réapparaîtra bribe par bribe, probablement encore partiellement à ce jour, au fil des années, dès le 20 août 2002.
Il me parla d’une personne de mon entourage n’ayant pas apprécié l’armée mais ayant trouvé ses services secrets fantastiques. Il positivera le rôle de l’armée dans les achats des antennes paraboliques de Loêche-les-bains, me proposera de faire partie de la cellule de services secrets « RE-NATO », impressioné et ignorant, j’accepterai.
Celui-ci m’avait aussi parlé d’une manière violente d’arrêter le cannabis qui risquait de m’être imposée, un préalable à mon enrôlement, en minimisant les conséquences négatives, en fait en positivant le tout comme une expérience humaine digne d’intérêt. De l’inconscience totale puisqu’il me faudra 5 à 6 ans pour retrouver presque toutes mes capacités mentales (ma capacité de concentration, à ce jour, reste trop faible pour effectuer sérieusement du développement logiciel plus de 15j par année, par exemple). En fait il me parla d’une substance (24b) utilisée par des « services secrets » qui, diluée dans un repas, fait tomber soit dans l’amour, soit dans la peur (!).
Il me parla aussi d’une société informatique à créer, incluant une notion de « 3 types de réseaux humains y cohabitant » qui obtiendrait un mandat lié à la lute contre la pédocriminalité sur internet. Sur ce point il avait raison, la société existera bel et bien, se sera INC.
Fin du printemps 2002, plage de Préverenges: deux hommes, la trentaine, bien vêtus, costard noir façon film hollywoodien « men in black », alors que tout le monde est en tenue estivale (il fait probablement 30 ∘C), oreillette à la Jean-Luc Delarue à l’oreille, qui font un numéro un peu imbécile, bien visible, juste sur mon passage. 200m plus loin je croise mon premier amour.
19 ou 20 août 2002: Journée particulière, probablement une de ces phases de test à visée professionnelle semble-t-il, j’ai alors un mandat avec le réseau câblé de la ville de Lausanne (dépendant des services industriels), et nous sommes deux mois avant de fonder la PME INC. dans le domaine informatique avec 4 connaissances (RE-NATO, AUDITT, TEDDYBEAR et LS). Ce jour là j’ai un rendez-vous avec le personnel du téléréseau de la ville. Un inconnu me téléphone en se faisant passer pour un employé d’une caisse AVS, il me demande des détails sur un employeur précédent. Je le trouve suspect et lui demande que JE puisse le rappeler. Aucun employé de ce nom à la caisse AVS prétendue.
Le soir même, mon amie d’alors (PAT) me tend un joint, petite feuille mais particulièrement empli de mixture. Je le fume, il a un goût étrange, amer, très différent du goût propre au mélange tabac / cannabis. Bêtement, ne pouvant concevoir la suite des événements, je le fume entièrement. Grave erreur, j’aurait du cesser immédiatement: il était empoisonné avec une substance tierce, très probablement de l’adrénaline de synthèse ou cortisole sévèrement dosé. Ceci aura comme premier effet de stimuler très fortement et très rapidement mon rythme cardiaque. Une seconde conséquence fut dévastatrice: entre 30 secondes et 1 minute après avoir terminé le joint, mon rythme cardiaque grimpe à quelque chose comme 200 pulsations / minutes, je fait un terrible accès de paranoïa, et je craint la crise cardiaque tellement le pouls est fort pour une activité physique nul. Ici est ma seule perte de contact avec la réalité de toute ma vie: avoir imaginé un tueur à gage sur un toit du voisinage, payé pour me tuer.
Mon amie appel la police qui m’emmène à l’hôpital de Morges. Je signal le goût étrange aux policiers. En observation pendant 2h, cela s’améliore lorsque je parle avec le personnel médical, mais repart dans des vagues de parano et douleurs crâniennes aiguës des dès que je suis laissé seul.
A propos du personnel médical de l’hôpital de Morges : il est très probablement « faux »: deux JF de 17-19 ans et une dame plus agée, 45-47 ans, que je verrai une seconde fois dans les mois suivant, faire du porte à porte pour France loisirs suisse, à mon appartement. N.B.: La femme de RE-NATO est ou était infirmière à l’hôpital de Morges à cette époque. On ne me présentera à aucun médecin à l’hôpital de Morges. Quelques détails supplémentaires sur ce joint fatidique : il était roulé à la rouleuse semi-automatique rizla-croix, probablement par une personne inexpérimentée mais méticuleuse.
On m’emmène à l’hôpital psychiatrique de Prangins. Temesta fortement dosé afin de trouver le sommeil la première nuit, puis, le lendemain, après diagnostique de la psychiatre (OLANZAPINE), neuroleptique atypique à fort dosage. Thérapie. Diagnostique, qu’on me révélera seulement une année plus tard : décompensation schizophrénique paranoïaque.
ANITA m’enverra un SMS le lendemain du soir de mon hospitalisation à Prangins avec le texte suivant: « bonne chance à la découverte de ton âme ». Je lui en reparlerai l’hiver 2005, cherchant à comprendre la signification de cette phrase, elle dégagera en touche d’une manière apeurée en me répondant de demander à SONOTONE.
Pendant trois ans je vais vivre dans une peur de tous les instants, à me sentir observer à chaque coins de rue, rétrospectivement ma personnalité propre à simplement été rongée durant ces trois ans comme dans un bain d’acide. Certes certaines de ces impressions d’être observé sont belle et bien de la paranoïa, mais une partie loin d’être négligeable (env. 30% à 50%) sont de réelles observations. J’essaierai par la suite de faire face, difficilement. A trois reprises la tentation du suicide est très forte, des idées qui ne se dissiperont très lentement qu’avec la venue de l’été suivant.
J’ai passé la fin de l’année 2002 à sentir physiquement la durée des jours diminuer, en m’enfonçant un peu plus chaque jour dans une profonde dépression. Le processus se reproduira dans une moindre mesure à l’automne 2003.
La perte quasiment complète de mes capacités de concentration m’inquiétera énormément. La programmation logiciel ou la configuration d’équipements télécoms professionnels deviendra très lente et ardue.
La fondation de la société INC. n’aide en rien, il y a passablement d’activités de réseautage humain autour de nous. Une affaire importante avec une ONG promulguant, entre autre, des solutions de lutte contre la pédocriminalité sur internet, nous confie un mandat de développement conséquent. L’ONG à des donateurs de prestiges et est en contact avec les polices suisses, Interpol, les polices françaises et allemandes.
RE-NATO commence à me faire des signes dès l’automne 2002, comme deux raclements de gorges prononcés alors que je range mon porte-monnaie dans une poche de veste ample plutôt que dans mon jeans, dans un lieu publique.
Un ancien camarade de classe de la 7 à la 9eme (DB, connaissant aussi DARTAGNAN) m’appelle (de manière spontanée, naturelle) pour me poser des questions sur les solutions logicielle permettant de filtrer d’un accès internet les contenus sensibles pour les enfants. Nous nous donnons rendez-vous dans un restaurant pour en parler. A une table juste derrière nous, deux hommes, 30-35 ans, vêtus de manière décontractée/sportive, l’un des deux gardant ses lunettes à soleil dans la pénombre, font du tintamarre sur leur verre a vin (N.B.: vide) avec un cuiller alors que je tente de me concentrer sur ce que me dit mon amis. Après avoir fini le repas, ils quittent le restaurant en même temps que nous. Echange de sourires sur le parking, ils n’ont pas l’air bien méchant. Ils roulent dans une Audi break de couleur foncée (l’image d’Epinal). Les seuls vrais militaires de cette histoire? RE-NATO se montrera expensif à mon retour aux bureau, posera des questions sur le déroulement de mon repas etc.
Lors d’un moment de doute sur la fiabilité de l’ONG et le financement 100% privé de celle-ci, j’écris un email a Interpol. Un écossais me répond en faisant des erreurs volontaires entre « I » and « you » dans sa réponse, signifiant sans doute que c’était moi-même ou INC. qui était à attester de la fiabilité plutôt que l’ONG.
Récemment, lors d’un reportage à la radio, j’ai appris que cet écossais était à la tête d’un département d’Interpol, sauf erreur celui chapeautant l’ensemble de la lutte contre la cyber-criminalité et la criminalité financière, à vérifier.
D’autre part, le week-end aussi, des personnes sont placées sur mon chemin par une main obscure, à des endroits ou je passe régulièrement (Plage de Préverenges, Migros Ecublens, Payot Lausanne...).
Je me souviens d’un week-end, celui du jeune fédéral vaudois suivant l’intoxication, comme particulièrement relaxant : sur les 3 jours, 2 furent en absence complète d’observations réseautées, un vrai régal, de très courte durée malheureusement.
Durant le travail chez INC., les repas de midi, lorsque pris en dehors du cadre de l’entreprise, sont souvent ponctués d’un environnement « réseau humain ». Un exemple: restaurant la Rose Rouge à Renens, une discussion avec mes collègues à propos de la prochaine votation sur la caisse maladie unique : un drôle de type, sans vouloir faire de jugement trop superficiel, une tête de mafiosi, fait un tintement continu avec son cuiller sur son verre, signifiant ATTENTION si ma compréhension des « signes » est correcte, lorsque je parle en faveur de la caisse maladie unique. Influence de type politique!
Autre exemple dans ma vie privée : un samedi, librairie Payot à Lausanne, je monte au premier étage : Un type, façon bon montagnard, 75 ans environ, corpulence assez forte, nez rouge, se racle très ostensiblement la gorge, deux fois, en se tenant à côté de l’étalage des nouveautés. Je sursaute et me demande ce que peux signifier ce « NIET » :
Pour illustrer jusqu’où est allé ma paranoïa déclenchée on ne peut plus artificiellement : c’est à l’été 2007, soit plus de 4 ans après l’événement, que j’ai compris son vrai sens : le cône (cannabis) est interdit. L’étalage des nouveautés n’étant pas une pyramide, mais un cône. Le travail d’intoxication mentale de GADLU ayant parfaitement fait son effet.
Courant 2003, lors de mes recherches par internet sur les sujets « services secrets », je tombe sur le site du SRS (Service de renseignements stratégiques) du DDPS, disant en substance « Nous considérons la suisse comme un pays particulièrement vulnérable sur le plan de ses infrastructures de télécommunications ».
Eté 2003, PEEWEE me contact pour discuter de la viabilité d’une desserte commerciale de connectivité à internet par les ondes (WiFi) depuis son jardin.
Il m’invite à manger chez lui. Une cuisse de poulet froide, amenée par son papa la veille. Quelques heures plus tard je sent des effets identiques que le joint de l’année précédente: rythme cardiaque s’accélérant bizarrement, sueurs froides, en tout repos physique, sans qu’une émotivité particulière ne déclenche ce phénomène, mais avec un effet « a rebours », soit a prendre peur en se rendant compte des effets physiologiques sur mon pouls.
Probablement le même puissant vasodilatateur.
Cette seconde fois, pris par voie digestive et dosé probablement de manière moins imbécile, je ne fais que rester au lit un jour. Hypothèse (fleur bleue?): une simulation à moindre échelle de l’épisode du 20 août 2002 pour me faire comprendre de quel milieu est partit la « correction »?
16 ou 17 décembre 2003, je lis un journal à mon domicile, ma colocataire (PAT) reçoit un appel téléphonique étonnant: il dure a tout casser 12 secondes: « Allo? Ah.. oui salut? Ah? Ok, bye ».
Le matin du samedi 20 décembre 2003, dernier jour du marché de Noël avant les fêtes, PAT m’attire quelque peu a l’accompagner nager a Mont-Repos. J’acquiesce mais prend mon temps pour me lever. Une fois dans le bassin, comme par hasard, elle a trop froid et monte à la cafétéria (hypothèse: gestion du temps). Je fait une dizaine de traversées et la rejoint.
En descendant au centre ville, en haut de la rue de bourg, j’aperçois un visage qui m’est connu: NCR, pas revue depuis l’école, juste entendue dans le coup de téléphone à URBANET en 1998/1999.
Fin du printemps 2004, ma productivité au travail étant médiocre (et mes collègues, notamment RE-NATO, me reprocheront de sentir la transpiration !), la société INC. me signifie mon congé.
Sur le plan réseau humain, une brève période de calme s’installe, d’environ 1 à 2 mois.
Fin 2004, j’y effectue deux mandats. Après un ou deux mois, un type commence à me tourner autour, en tenant des propos artificiellement proche de paroles que j’avais moi-mêmes tenues quelques années auparavant, afin de se rendre sympathique. Il débarque très souvent à la cafétéria 2 minutes après que j’y sois, averti par un artifice indéterminé (espion logiciel ou secrétaire dans un bureau attenant ?).
Un vendeur des SIG me fait des signes pour faire paraître son entreprise comme « appartenant » au réseau, soit « franc-maçon + militaire ». Un autre employé de la même entreprise, au téléphone, alors que je lui demande par ou passent physiquement les fibres des circuits que nous voulons leur louer, me demande en rigolant si je ne fais partie des « services secrets » tellement la question lui paraît déplacée. Tout ceci me paraît d’un niveau de finesse suspect, je les classes plutôt dans la case « copinage 100% économique ».
Un resserrement du processus s’opère en fin d’année. Un bug informatique qui semble construit de toute pièce (http cache poisoning) sur des serveurs de la RSR m’empêche de continuer mon travail, des modifs de configuration me bloquant des accès à certains équipements, deux collègues deviennent particulièrement aigri, peu serviables etc...
Le processus se rapproche au point que je panique (l’émotivité de la peur est encore très présente à cette époque), rapporte les faits de manière très peu sereine, ce deux fois de suite, et me fait virer, ou plutôt mes deux mandats me sont retirés, ce qui revient au même dans le sens ou la RSR occupait toute ma capacité de travail, le risque d’appuis syndical ou prud’homme en moins.
Fin 2004 ou début 2005, soirée particulière au Kabak, lieu de concert dans l’ancienne école de chimie, à Lausanne: En arrivant je vois deux voitures de police formant un « L » sur l’esplanade du château.
Un groupe va se produire en ce lieu. Je m’assois. Une JF, spectatrice, se pose sur une chaise devant moi et me demande une cigarette, elle paraît sympathique, j’échange trois phrases avec. Son amis la rejoint. A propos du groupe, premier point particulier: le chanteur porte une croix qui était présente sur les uniformes SS. Le concert commence (musique bruyante). Après quelques minutes l’amis de la JF se lève et s’approche de la scène, avec ce qui semble une intention de les observer d’un peu plus près. Je commence à penser qu’il est peut-être un policier en civile. Au fil du concert, crescendo, le chanteur du groupe devient de plus en plus exalté, finit par faire des « sieg-heil » sur la scène.
J’ai l’impression d’être sur une autre planète, regarde le reste des spectateurs, seul le « flic en civile » à l’air d’avoir les pieds sur terre, le reste de la salle est comme un troupeau bovin ne comprenant pas ce qui lui arrive, ne réagissant pas (et tant mieux finalement). Je crains tout de même que cela tourne en bagarre, mais il n’en sera rien. Je pose des questions à gauche à droite: « mais non ça doit être du second degré ». Très loin d’être convaincu, je quitte le lieu (en passant pour paranoïaque, comme d’habitude).
Je retourne chez moi en m’inquiétant de la suite des événements dans la salle puis en trouvant (le lendemain) le contraste entre « foule endormie » et « flic en civile » plutôt intéressant, positif, un voyage dans la peur digne de valeur (le seul de tout ce document).
Les 6 mois après mon éviction de la RSR seront plutôt épiques en ville de Lausanne. (voitures tous signofiles activés, réseautage du personnel de la poste lorsque j’envoie un recommendé au même sujet que ce document, observation et jeux théâtralisés sur mon passage dans les rues de Lausanne, statistique d’ambulance me passant à coté anormalement élevée (N.B.: le frère de RE-NATO est ambulancier) Les réseaux humains font leur démonstration de puissance. En aucun cas suis-je quelqu’un ayant un passé psychiatrique à prendre en considération, non, je suis un jeune con qu’il faut remettre dans le droit chemin.
Cette analyse des événements est celle du 22.6.2008, cela fait à peine 10 jours que les choses s’éclaircissent, à l’époque c’est un véritable tournoiement dans mon esprit déjà peu solide.
Juillet 2005, je finit par faire une admission d’urgence à l’hôpital psychiatrique de cery, pensant calmer le jeu avec les james-bond des rues de Lausanne. Un type, un sois disant patient de Cery se balade très finement dans l’hôpital en chantant « Sunday bloody Sunday » de U2 (mon groupe préféré à l’âge de 13-19 ans, que DARTAGNAN, NCR et AUDITT avait découvert par mon entremise). Celui-ci me fait des remarques sur le marché de l’emploi, que même bardé de diplômes il a du mal a trouver du travail etc (....) Je reprend le neuroleptique que j’avais arrêter fin 2003. Ironiquement, ont peut dire que cette molécule est d’une puissance toute particulière : les réseaux humains cessent leur démonstration de force dès ma sortie de l’hôpital, du jour au lendemain (....) (52).
A ce stade nous sommes en juillet 2005, 7 mois sans travail / sans chômage, j’en endurerait encore 7 mais payé par le chômage cette fois-ci. 14 mois au total (joli chiffre).
Les semaines passent. La motivation à la vie diurne diminue. Aidé par un effet secondaire du neuroleptique, je dors environ 12-13 heures par jour, la journée ayant un intérêt proche du néant : je me lève vers 11-13h, prends un café-croissant au tea-room du coin, m’achète une pomme, fait une marche à pied quotidienne entre Lausanne et Lutry, mange la pomme, puis rentre chez moi en bus. Mode de survie, voilure minimale, ce n’est pas grand chose par rapport à la dépression sévère de 2002-2003, mais une grande partie de la population nommerait ceci une dépression profonde et recourrait à un anti-dépresseur dans une période de vie pareil. Je veux continuer à faire face, seul, probablement à tort. J’ai un suivi psychiatrique, mais fais relativement bonne figure, étant habitué à bien pire de toute façon. Détail: un tiers à un quart de mes trajets sur la ligne du bus numéro 9 feront l’objet d’un contrôle de titre de transport de la part des TL dans cette période.
Avril 2006 je retrouve enfin un travail, peu intéressant. Très peu d’activités « réseaux humains » par contre.
Janvier 2007, enfin un travail qui me motive chez BEEP. Depuis URBANET, sauf à la RSR, je n’avais jamais retrouvé une place ou le fait de me lever le matin n’était pas simplement un acte douloureux, en pensant à la journée peu motivante voire franchement angoissante qui m’attendait.
Quelques événements au premier abord anodins redémarreront ma suspicion, iront toucher ce sujet laissé comme une plaie cicatrisée de manière très superficielle.
Dès la fin 2007, des Denial of Services (DoS), attaques informatiques en déni de services commencent à sévir chez BEEP, d’une statistique particulière: elle commence à apparaître à un moment donner alors que rien de tel n’existait auparavant. Elles sont relativement modérée comme pour inciter le travail de les contrecarrer sans se vouloir trop destructrice. Rarement elles impacteront certains clients de BEEP pendant passablement d’heures tout de même, sans mettre l’intégralité du réseau de BEEP dans la pagaille. 90% semblent être totalement artificielles.
Au début 2007, on m’informe d’une panne récurrente jamais résolue: le lien optique en air libre reliant un point de présence, tombe fréquemment en panne pendant 2 à 5 minutes. En seconde analyse, ce n’est pas le lien optique lui même. Il faudra une quinzaine de pannes, 3 changements d’équipements représentant plusieurs milliers de francs, un grand nombre d’heures perdues pour ce rendre compte qu’une « porte arrière » ou infiltration sur un commutateur Kisko est utilisée pour créer cette panne de synthèse. Travail d’orfèvre de hacker ou plutôt porte arrière secrète laissée par le fabricant, utilisée par ses ingénieurs de support en cas de détresse extrême du client comme moyen d’intervention à distance. Comme par hasard, en visant ce point de présence et ce lien optique en air-libre, c’est une technologie « novatrice et relativement bon marché » qui est visé dans la panne, incitant la location d’un service Swisscom ou SIG en fibre optique.
Aussi relativement tôt durant l’année 2007: sur ce même point de présence, afin de lui assurer un lien de backup au cas ou la panne précitée survient, nous mettons deux pairs de cuivre en service, permettant de faire passer 8Mbit/s de débit plutôt que 4 avec une seule paire. Initialement tout se déroule bien et fonctionne à merveille durant une semaine. Puis ce lien tombe. Je cherche le ohmmètre de BEEP afin d’effectuer une nouvelle mesure de ligne. Il a comme par hasard disparu. J’en achète un neuf. La mesure montre 399 Ohms pour une paire et 476 Ohms pour la seconde, alors qu’avant la mise en service elles étaient les deux à 398 et 399 Ohms! Swisscom a recâblé (patching) une des deux paires de fils, mettant une fois de plus des bâtons dans les roues des « petits » face à big blue. Aussi, même une fois passé sur une seul paire de fil et 4Mbit/s, un des modems « plantera » de manière anormale, à cause de « hacking » de cet équipement le rendant très souvent inopérant. Au jour d’aujourd’hui, c’est 2 Mbit/s que nous avons comme backup à cet endroit, alors que 8Mbit/s fonctionnerait très bien sans les actions secrètes des adeptes de « protectionnisme stratégique ». Quelque mois plus tard, le ohmmètre de BEEP réapparaîtra.
Un jour, début 2008, j’écrit un mail au second degré à propos des militaires en général, le diffuse via une mailing-list où une trentaine de personnes sont inscrites. Le lendemain:
Mi-janvier 2008, un « test » chez (BEEP) : alors que je reçois 3-5 appels de support second niveau dans un jour normal, ce jour là j’en reçois une quinzaine.
Mi-Mai 2008, suite à une vague de ras-le-bol pour des « tests » d’ordre mineur, j’écrit une lettre à la police fédéral. Aucune réponse, mais 15 jours plus tard je me fais flasher sur l’autoroute de contournement de Lausanne, à un endroit limité à 100 km/h, au compteur, 100-105, la contredanse : 118 km/h - 4 de marge. Je conteste par email. Réponse par courrier papier, d’un dénommé Hauswirth, chef de la section radar, qui ne veut pas entrer en matière. J’hésite a payer et laisse un délai conséquent avant de décider de le faire. Mon paiement arrive alors que le dossier vient juste d’être transféré au poursuites ou recouvrement. Je reçois un nouveau courrier de la gendarmerie m’indiquant ce fait, et que mes 120.- y ont été transférés. Puis aucun signe de vie de l’instance en question.
Pendant une semaine de protection civile à Lausanne, une personne « du réseau » se permet de dormir dans mon studio Genevois!
L’autoradio de mon véhicule automobile est reconfiguré de manière à remplacer les chaînes françaises avec « RSR la première ».
Le 14.8.2008, j’envoie ma première demande de dépôt de plainte au juge d’instruction de l’arrondissement de Lausanne, soit ce document à quelques détails prêts, qui sera reçue le 20.8.2008.
Lundi 25 août 2008, chez BEEP, mon employeur, je constate qu’un équipement de commutation de paquets a été reconfiguré pendant le matin même vers 6h (heure précise connue grâce à un outil de supervision), d’une manière qui ne peut se faire qu’en ayant un accès physique à l’équipement. Je parle succinctement de mes doutes à mon supérieur, essaie d’attirer sa conscience sur ce point, avec un succès proche du néant.
Le 27.8.2008, le tribunal d’arr. de Lausanne m’envoie sont refus d’entrer en matière. Conformément à la loi, je dispose de 10j ouvrables pour recourir.
Entre Dimanche 31.8.2008 en fin d’après midi (18h00) et Lundi 1.9.2008 à 8h55, mon véhicule, une Renault Clio type II bleu métallisée, a été volé alors qu’il était stationné à Carouge, en zone bleue, le long du boulevard des promenades, sur le parking reliant cette dernière avec la rue du Vieux-canal.
Mardi 2.9.2009, Carouge, je retrouve mon véhicule à trois rues d’où je l’avais garé (la place initiale était une rare place à l’ombre, la seconde au soleil), serrure du coffre ne fermant plus.
Au travail, un client de BEEP est soumis a une très lourde attaque en dénis de service, risquant la vie de la société cliente et celle de BEEP. La tentative de mitiger cette attaque m’implique de manière très directe. L’attaque est telle que BEEP sera totalement coupé du monde pendant environ 1h40, et subissant une connectivité fortement ralenties pendant 4h, alors que le client ciblé sera coupé du monde pendant de longues heures.
Très précisément au moment ou j’explique à un employé de la société victime, par téléphone, mes analyses, soit que l’attaque semble être rondement menée depuis le sein même d’un prestataire internet ayant les reins solides, l’attaque quadruple d’amplitude et BEEP est instantanément coupé du monde. Depuis quelques semaines, je sentais un lien de longue date dans les parages, impliqué, et ce n’était pas la première fois que je le sentais rôder dans la zone industrielle de Plan-les-ouates (NB: ressenti exacerbé par le lavage de cerveau de 2002 à 2005). D’urgence, nous activons une interconnexion avec Swisscom, leur team étant très disponible dans nos besoins de contrecarrer de genre d’attaque. Un de leur employé me fait part, sans en ajouter, par email, des mérites d’un système de détection de ce genre d’attaques en service sur leur backbone.
Le lendemain, un employé du client ciblé me vente lui aussi les mérites, et de Swisscom, et du produit utilisé pour la détection des DDoS (Distributed Denial of Services) chez ce prestataire. Ce de manière nullement fortuite, mais pleinement préparée (« réseautée ») pendant la soirée précédente, au point d’apparaître de manière grotesque comme un piètre vendeur de Swisscom.
Samedi 6.9.2009, Lausanne, je constate qu’un sac de couchage a disparu de mon appartement.
Fin 2004 ou début 2005, j’avais retrouvé deux traces de petites mains appuyées sur mon linge de bain en rentrant chez moi, probablement fait avec de l’eau un peu savonnée afin de mouler le linge une fois séché.
Une femme du réseau TIRANOSAURE, lien de longue date, semblait déjà écrire les calembours de la bande dessinée « amanda délire » qui a cessé subitement, très récemment. J’avais aussi remarqué que cette personne écrivait les horoscopes du matin bleu, pseudonyme « Natacha Delphes ». Aujourd’hui c’est au « vrai » matin qu’elle semble avoir « étendu son réseau de relations », (c.f. aussi la figure 1) :
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Figure 1: Horoscope du matin dimanche du 7.9.2008, c.f. point 77
Ces gens sont délicieux, ils pensent me faire avaler de la sécurité informatique coûte que coûte même si un entonnoir était nécessaire pour y parvenir, alors que le domaine ne m’a que très tièdement intéressé, par contre en faisant mon travail d’ingénieur système consciencieusement je me suis fait remarqué par SONOTONE. De plus ce domaine est d’une créativité nulle, sauf dans son penchant destructif. (78) Ils doivent vouloir effacer l’ardoise « 20.8.2002 » par un salaire juteux dans le domaine financier, domaine de l’économie qui ne m’intéresse nullement.
Petit détours par les autres affaires suscitant fantasmes chez les fans de Ian Fleming: Attac Vaud contre Nestlé et le Groupement anti-répressions: (79) Sarha Meylan, Shanti Muller: Initiales SM. Jeux de mots potentiel aussi sur « Attac Vaud et GAR à la police ».
Dans un matin bleu de la première semaine de septembre, mon horoscope parlait « d’accélérer le rythme, faire tourner la machine (humaine) plus vite ». Risquer de mettre 25+190 personnes au chômage pour accélérer mon rythme de vie...
Il y a quelques semaines, un épisode de « amanda délire » s’intitulait ainsi: « avec Michel… je suis prête… pour le grand sot ». J’ai deux cousins germains: AUDITT et Michel Je venais de revoir Michel, justement, après une longue période de perte de contact avec ce dernier.
A la fin de la semaine se terminant par le 26.9.2008: j’ai dû changer la batterie de mon automobile, elle s’était subitement déchargée, un défaut d’un circuit électrique. Le pneu avant droite se dégonfle en une journée aussi.
Le 14.10.2008, entre 14h30 et 15h30, Chez BEEP, le patron de la société s’est fait voler un effet personnel de valeur, dans son bureau, pendant les heures de travail. Il hésite à faire installer un système d’accès par badge.
Le 23.10.2008 je croise TEDDYBEAR à une verrée, la fleur au fusil, il me dit: « vous n’avez pas besoin de caméras de surveillance et accès par badge? Pascal S. (ex-policier genevois, vendeur pour INC.) s’est fait approché par Kisko pour qu’on distribue ce genre de solutions. C’est bizarre car on a pas du tout la taille pour être partenaire Kisko mais bon... ». Cela n’entre évidemment pas dans l’oreille d’un sourd.
Le dimanche 4.1.2009 je constate un pneu crevé sur mon véhicule.
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Figure 2: Pneu avant gauche de mon automobile tel que constaté le 4.1.2009, photographié le 16, c.f. point 84b
Le mardi 20.1.2009 une DDoS sévit à nouveau chez BEEP, pendant que moi-même et la seule autre personne capable de dépatouiller l’affaire mangeons au restaurant avec un client. J’abrège mon repas. En fait, deux DDoS vont intervenir à 5 minutes prêts. Une, intelligemment conduite, ayant un grand impact (plus d’une heure de coupure sur tous les hébérgements) semblant émaner du team RE-NATO, l’autre, impactant un seul client, émanant du team SONOTONE. Un peu comme si le team RE-NATO voulait faire accuser SONOTONE. Me revient en mémoire le même constat le 2.9.2008, oublié car dans une anxiété assez forte ce jour là, me faisant perdre de vue certains détails: une mini-DoS émanait d’un client, ayant aucun impact, simultanément à la « grande » DDoS.
La nuit du 20 au 21.1.2009, idem, à nouveau une DoS ou DDoS, c’est un collègue qui la gérera, donc pas de sentiment sur le moment quant au team au manettes. Après analyse des outils de supervisions: d’une violence un peu plus élevée que celle du 2.9.2008, plus courte, survenant à 1 ou 2h du matin, elle passe « par hasard » par un nouveau routeur technologiquement très différent de ceux en place le 2.9.2008, et celui-ci ne subit aucun impact. Signature RE-NATO?
Récemment, je prends rendez-vous avec un avocat de la place genevoise et envoie ce document par email. La secrétaire de l’avocat me dira ne l’avoir jamais reçu. Les jours suivant, mon téléphone mobile subit une panne particulière : je ne peux plus passer d’appels, alors que l’idée de communiquer à la secrétaire la date et l’heure de l’envoi par email m’était venu à l’esprit. Le serveur de mail de l’étude d’avocat en question est hébergé chez une société facilement « réseautable » par SONOTONE.
24.4.2009, je perds mon emploi, officiellement pour divergence de point de vue avec mon supérieur, officieusement mes employeurs ont peur de conséquence sur leurs affaires de ma simple présence dans leur entreprise. Je me suis par le passé passablement posé de question sur un réseautage probable entre mon supérieur et le team TIRANOSAURE. Troisième perte d’emploi suite à ce fiasco de services secrets antédiluviens.
Le jeudi 28.5.2009, je participe à une collecte de signature en ville de Lausanne pour le parti socialiste. Entre le 28 15h et samedi 30.5.2009 12h, une carte son USB disparaît de mon appartement de Lausanne tandis que je suis dans mon studio carougeois. Je me remettais à la programmation dans le domaine de l’audio professionnelle depuis quelques semaines.
Le 18.2.2010 un petit sac à dos disparaît de mon appartement lausannois. Le jour anniversaire de mon cousin germain AUDITT.
L’épisode « réponse à un email d’un responsable d’interpol » peut aussi être réinterprété (sans la charge de culpabilité propre à la paranoïa et après 5 ans de tentative de prise de recul) comme me signifiant qu’interpol se posait la même question que moi sur l’ONG (mélange entre « I », « moi » et « You », « toi »: nous nous posons les mêmes questions).
L’épisode « lettre à la fedpol/SAP » et flash sur l’autoroute en seul réponse est particulièrement intéressant, l’attaque sur BEEP dans les 10j de droit de recours après le refus de ma première tentative de plainte aussi.
Je passe en vrac sur d’autres éléments bizarres: email à d’anciens professeurs de l’HEIG-VD ainsi qu’a une personne de l’EPFL concernant la procédure de dossier pour être admis en Master resté étrangement sans réponses, des personnes réseautées de manière à ne pas me répondre ni me revoir afin d’exagérer l’aspect « ont te prend pour fou, tais-toi donc! ».
J’ai ainsi l’impression d’être constamment le « cobaye » pour des « entraînements » de réseaux humains de natures diverses et suspectes, à 95% d’une affligeante imbécilité. N.B.: Le « test » du vendeur d’équipements de tests et mesures électroniques était très « pro ». Observer le policier en civile dans l’ancienne école de chimie était très intéressant, très enrichissant.
Je me réveil actuellement, depuis 3-5 mois, revenu avec une solidité intérieur quasi « normale » après 5 années et demi simplement « à l’ouest », 3 dans une peur de tous les instants, 2 et demi dans une stabilité émotionnelle comparable à la tenue d’une coque de noix sur une mer avec force 5.
Je travaille seul pour comprendre un tel acharnement sur moi, j’ai assurément commis des erreurs d’identifications des personnes « réseautant » aussi stupidement, surtout par le passé, par l’envoi de mail à des acteurs de ce récit ou à des proches. J’ai pu obtenir une réponse, suite à un email envoyé à Mme De Quattro, de M. Vincent Grandjean, me demandant ce que j’attendais de la part de l’état de Vaud dans cette affaire, mais c’est tout, pas de suite après cette simple petite phrase. J’ai tenté de déposer plainte pénale contre inconnu au juge d’instruction de l’arrondissement de Lausanne sans succès. Puis recours au tribunal d’accusation, sans succès, puis recours au T.F., sans succès.
L’élément le plus impactant pour ma vie a clairement été la conjonction « intoxication par la substance ajoutée au cannabis » plus « observations en lieu publique 2002-2005 », au point que mon rétablissement prenne plus de 13 ans, soit le temps passé fortement soumis par la peur (3 ans) plus le temps nécessaire à guérir très lentement des séquelles laissées par le bain acide de la peur (8 ans, and still counting!), soit une déstructuration mentale suffisamment profonde pour que le terme de lavage de cerveau se justifie parfaitement. L’aspect le plus marquant de ces deux ans et demi est une chétivité intérieur, un manque de solidité, de tonus, d’ancrage émotionnelle due à un effondrement des fondations sur lesquels j’étais construit avant d’être entouré par les « paranoïaques sécuritaires ».
13 années de vie perdues, passées à slalomer entre les activités de ces gens ayant visiblement un goût prononcé à utiliser (89) le paranoïaque de service pour affiner leur talent au réseautage, 13 années sans avoir rien pu faire de constructif de ma vie privée, à attendre des jours meilleures, 3 ans a avoir régressé sur le plan professionnel, plus de 3 ans à avoir péniblement comblé ce retard.
12.5 ans sous neuroleptiques, 3 ans sous antidépresseur. Diagnostique beacoup plus proche de la réalité que celui apposé on ne sait trop comment en 2003: anxiété généralisée, hypervigilence, collapse nerveux, Paranoïa certe, aussi, mais construite à 100% par main humaine, sécuritaire.
J’envoie une version antérieure de ce document, dénuée d’hypothèses, à Mme de Quattro le 23 juin 2008. Le 21 juillet 2008, M. Vincent Grandjean me répond laconiquement, notant au passage qu’il sera absent jusqu’au 8.8.2008. Je me pause quelques questions.
Le jour du limogeage de la tête de la police vaudoise, je m’en pause aussi, enfin, peut-être moins que d’autres concitoyens finalement.
Il y a bien eût un poste ouvert chez Swisscom ip-plus après ceci, à Berne, mais une place de travail, comme réparation, cela reste très chiche par rapport aux souffrances endurées.
Ce document a été traduit de LATEX par HEVEA